Punky Brewster [1984] [S.Live]

Punky Brewster est une série télévisée américaine en 88 épisodes de 25 minutes, créée par Liz Sage et Rick Hawkins et diffusée entre le 16 septembre 1984 et le 9 mars 1986 sur le réseau NBC et entre le 30 octobre 1987 et le 27 mai 1988 en syndication.
En France, la série a été diffusée à partir du 23 décembre 1985 sur TF1 et présentée par Dorothée à partir de 1987. Rediffusion ensuite sur AB1.

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Punky Brewster est une orpheline amusante et débrouillarde, abandonnée par ses parents à l'âge de sept ans, puis adoptée par un vieux photographe vivant à Chicago, Henry Warnimont.
Le père de Punky avait abandonné sa famille. Peu de temps après, Punky fut abandonnée par sa mère qui la déposa dans un supermarché de Chicago et disparut. Punky resta seule, avec pour seul compagnon son paisible chien, Bandit, puis elle découvrit un appartement vacant dans un immeuble.

L'immeuble était géré par le photographe Henry Warnimont , un vieux garçon (en réalité veuf un an après son mariage). Punky devient rapidement ami avec Cherie Johnson , une jeune fille qui vit quelques étages au-dessus dans l'immeuble d'Henry, avec sa grand-mère Betty Johnson . Dès qu'Henry découvre Punky dans l'appartement adjacent vide, il écoute son histoire. La relation entre les deux se développe, et Henry adopte Punky.

Les meilleurs amis de Punky sont Cherie, Allen, Margaux et son chien Bandit.
Un des épisodes les plus mémorables est celui qui parla de la catastrophe de la navette spatiale en 1986. Lorsque Punky entend parler des morts, son rêve de devenir astronaute se brise. Mais à la fin, sa maîtresse d'école et Henry, ainsi que l'invité vedette Buzz Aldrin, lui parlent longuement et l'encouragent à suivre ses rêves.

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Je rêvais d'avoir sa chambre quand j'étais petite. ^^

Belle série, je l’aimais beaucoup !
J’aimais aussi beaucoup sa chambre Dinah de Vador, je voulais moi aussi en avoir une pareille.
J’ai juste réussi à mettre la lune et les petites étoiles.
Quant au lit qui bascule, mon père n’a jamais voulu m’en acheter un (le pauvre je lui en faisais voir de toutes les couleurs avec tous mes caprices pour toutes les séries que je regardais et dont j’avais envie).